Oubliez le 3ème pilier frontalier, optez pour l’assurance vie française
L’investissement est en vogue, il n’y a qu’à voir le nombre de vidéos sur les réseaux sociaux qui vous promettent de devenir millionnaire sans effort et sans argent. Immobilier, trading, crypto, fonds d’investissement, investir semble être à la portée de tous. Sauf que les arnaques sont courantes et les fausses promesses encore plus nombreuses. Investir c’est bien, être accompagné par de vrais professionnels de la finance, c’est mieux ! Choisir le bon produit est aussi un élément clé pour s’assurer du profit. L’assurance vie fait partie de ces placements financiers trop souvent occultés par les trentenaires. Les frontaliers suisses ont tendance à l’assimiler au 3ème pilier. Pourtant, ces deux-là n’ont rien à voir ! 3ème pilier ou assurance vie, découvrez comment épargner et obtenir le meilleur rendement quand on est frontalier. Suivez le Guide !
3ème pilier ou assurance vie, ne vous posez plus la question
Le jargon suisse à ses particularités qui laissent souvent les étrangers pantois. Ainsi, les Suisses préfèreront dire : « donne-moi ton natel » pour « donne-moi ton numéro de téléphone portable » ; mais aussi « service ! », lorsque vous réglez l’addition au restaurant, comprenez « je vous remercie » ; et si vous recherchez un distributeur à billets (même si on en trouve à chaque coin de rue), parlez alors de « bancomate ».
Bien d’autres subtilités linguistiques résident en Helvétie, mais certaines interrogent les frontaliers plus que d’autres, notamment : 3ème pilier ou assurance vie ?
Dans ce cas précis, l’erreur est fatale pour ceux qui assimilent le 3ème pilier suisse à l’assurance vie française, pensant qu’il s’agit d’une simple distinction de langage. Car oui, le 3ème pilier est effectivement un produit assurantiel destiné à épargner en vue d’une retraite plus confortable. Mais non, le 3ème pilier suisse n’a rien à voir avec l’assurance-vie française, et surtout, il ne convient pas aux frontaliers franco-suisses !
L’assurance vie pour frontalier un placement à la fiscalité avantageuse
Vous vous demandez certainement pourquoi le 3ème pilier ne convient pas aux frontaliers. La raison est simple. Vous êtes Français, vous travaillez en Suisse, mais vous résidez en France, où allez-vous passer votre retraite ? En France, certainement ! Et à l’âge de la retraite où serez-vous imposé ? En France également !
Saviez-vous que le 3ème pilier sera imposé en France à sa sortie et que son taux d’imposition est plus élevé que l’assurance vie pour frontalier ?
Depuis la modification de la loi sur le 3ème pilier concernant les frontaliers, ils ne bénéficient plus d’avantages fiscaux liés à ce placement. Seuls les citoyens ou résidents suisses peuvent en profiter.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que le 3ème pilier suisse est fait pour les Suisses, alors que l’assurance vie française est faite pour les Français et donc également pour les travailleurs frontaliers franco-suisses.
Après 8 ans de placement (oui, l’assurance vie est un placement sur le long terme pour profiter de tous ses avantages), un abattement fiscal annuel sur les intérêts de 4 600 € pour une personne seule ou de 9 200 € par foyer est prévu. Plutôt intéressant quand on est frontalier et que l’on gagne bien sa vie !
L’objectif de l’assurance vie chez Mon Petit Placement
Pour comprendre pourquoi le 3ème pilier n’est pas un placement bénéfique pour les frontaliers, détaillons les objectifs de l’assurance vie proposée par la fintech française Mon Petit Placement.
Cette Start-up a révolutionné la sphère très fermée de l’assurance-vie avec pour objectif d’ouvrir ses portes au commun des mortels, en laissant de côté toutes les idées reçues à son sujet.
Idée reçue n° 1
L’assurance-vie concerne uniquement les retraités ou les investisseurs fortunés et avertis.
- Faux : plus vous investissez jeune, plus votre placement fructifiera ! Mon Petit Placement a l’avantage d’offrir une gestion pilotée où des conseillers experts en la matière vous accompagnent pour vous faire part de leurs recommandations. Libre à vous de les suivre ou non.
Idée reçue n° 2
Pour rentrer dans un fonds d’investissement, il faut investir une grosse somme d’argent.
- Faux : pas chez Mon Petit Placement ! À partir de 300 € seulement vous pouvez vous lancer et ouvrir votre compte via l’application mobile ou directement en ligne. Par la suite, 100 €/mois suffiront à faire évoluer votre épargne. À tout moment et sans frais, vous pouvez couper vos versements.
Idée reçue n° 3
Diversifier son portefeuille d’actions est impossible pour un néophyte.
- Faux : l’application Mon Petit Placement vous propose quatre portefeuilles distincts où vous pourrez choisir vos fonds d’investissement proposant un rendement plus ou moins élevé selon la part de risque que vous pouvez supporter.
- Volontaire: avec un objectif de rendement de 3 % par an, pour ceux qui privilégient la sécurité.
- Énergique: objectif de rendement de 5 % avec une exposition au marché actions modéré. Vous gardez le contrôle avec une part de risque toujours faible, mais le rendement devient intéressant.
- Ambitieux: objectif de rendement de 8 % par an. Vous êtes ambitieux, tant mieux ! Vous avez de belles perspectives d’avenir, mais souvenez-vous que l’on ne gagne pas à tous les coups…
- Intrépide: objectif de rendement de 12 %. Félicitation, vous avez atteint un objectif de performance maximale ! Ce portefeuille mise exclusivement sur des actions. Il se fait la part belle sur le marché en matière de performances par rapport à ses concurrents.
Idée reçue n° 4
Les fonds d’investissement ont des fins purement lucratives et manquent d’éthique.
- Faux : là encore, Mon Petit Placement se démarque d’autres prestataires en assurance vie. La Startup s’inscrit dans l’air du temps et n’évince pas les questions liées à l’environnement, à la santé, à l’emploi, aux nouvelles technologies, à l’égalité ou à la relance soucieuse des valeurs humaines. C’est pourquoi vous pouvez placer vos fonds selon vos convictions en optant pour une entreprise s’inscrivant dans l’une de ces démarches.
Idée reçue n° 5
L’assurance vie est bloquée jusqu’à la retraite.
- Faux : vous êtes maître de votre contrat. Ainsi, vous pouvez l’arrêter à tout moment où racheter vos parts partiellement ou en totalité (montant minimum 500 €). Chez Mon Petit Placement, le contrat d’assurance vie est sans engagement.
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3ème pilier frontalier en 2022 : comment ça marche ?
3ème pilier frontalier les règles de bases
Le 3ème pilier est un produit assurantiel de prévoyance, non obligatoire. Il vient compléter le 1er et 2ème pilier une fois retraité. Il peut participer à l’achat d’une résidence principale, subvenir aux besoins en cas d’invalidité, assurer une rente en cas d’incapacité de gain et protéger vos proches suite à un décès.
Le troisième pilier se distingue par deux types de contrats :
Le troisième pilier lié ou 3a
Il concerne les personnes qui travaillent en Suisse, dont les frontaliers. Notez qu’à ce jour seules certaines compagnies d’assurances le proposent aux frontaliers. Son montant est plafonné annuellement. Équivalent à CHF 6 883.-/an pour les salariés. Puis 20 % du revenu net d’exploitation pour les travailleurs indépendants. Le contrat s’arrête arrivé à l’âge de la retraite, soit 65 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes.
Le troisième pilier libre ou 3b
Ouvert aux résidents suisses qui travaillent en Suisse ou à l’étranger, le 3ème pilier b est, quant à lui, plus souple en termes de versements et d’années d’épargne. Comme son nom l’indique, vous êtes libre de placer la somme qui vous convient. En tant que frontalier, vous ne résidez pas en Suisse, puisque vous rentrez en France chaque soir, vous ne pouvez donc pas y souscrire.
3ème pilier frontalier de Genève : l’exception qui confirme la règle
Depuis le 1er janvier 2021, les frontaliers ne peuvent plus défiscaliser les cotisations de leur 3ème pilier A comme ils le faisaient auparavant. Sauf pour les frontaliers genevois qui ont obtenu le statut de quasi-résident, ils conservent cet avantage. Pour bénéficier de ce statut, 90 % des revenus du foyer fiscal doivent être imposés en Suisse.
Les quasi-résidents qui ont préféré l’assurance vie au 3ème pilier sont doublement avantagés, car celle-ci s’apparente au 3ème pilier B. Ils peuvent donc déduire leurs cotisations de leurs revenus pendant leur vie d’épargnant. Puis, à la sortie du capital, là encore c’est le jackpot, les quasi-résidents profiteront d’un taux d’imposition préférentiel prélevé à la source.
Or, comme évoqué précédemment, n’oubliez pas que le taux d’imposition du 3ème pilier est, quant à lui, plus élevé que celui de l’assurance vie. À la sortie du capital, l’assurance vie française s’avère plus avantageuse que le 3ème pilier frontalier.
Frontaliers, si malgré la lecture de ces lignes vous doutez encore entre le 3ème pilier ou l’assurance vie, la balance penche indéniablement du côté de l’assurance vie ! Concluons par le fait qu’avec celle-ci, vous avez l’avantage de réaliser de plus larges bénéfices sur le long terme. N’attendez plus et faites fructifier votre épargne dès aujourd’hui.